Portrait de l’Homme Occidental : ses carcans sociétaux, l’ultime combat

Nous vivons tous dans plusieurs carcans.

Le carcan économique d’abord.

Métro boulot dodo. Un salaire (de misère souvent) qui permet (en général) au plus de s’en sortir : assurer les dépenses indispensables, avec un petit bonus, argent de poche qui nous donne la liberté, soit d’économiser, soit de participer à la « société de consommation », des achats généralement inutiles pour « profiter » des mirages de la publicité.

Enfin, chacun fait bien-sûr ce qu’il veut avec son fric. Je trouve simplement qu’un peu de réflexion préalable serait souhaitable pour bien cadrer le tout et analyser en profondeur pour quels motifs profonds on dépense son argent de telle ou de telle manière.

Cadre ou carcan économique donc.

Le pouvoir d’achat détermine concrètement ce qu’on est en mesure de faire ou non.

Il est limitatif, quel que soit son état d’esprit, sa motivation, son consumérisme ou son idéal de vie.

Ce carcan se resserre de plus en plus. Aujourd’hui, la majorité ne dispose plus d’argent de poche, suite à la « crise » induite par l’inflation. Résultat : baisse significative de la fréquentation de restaurants, de loisirs culturels, d’activités sociales diverses… et de divers joujoux à la mode.  

Réduction des rapports sociaux, repli sur soi. Il ne reste plus que la TV, le divan, un minimum de chauffage…

Tu vois donc à quoi on est réduits. Et cela ne va pas s’arranger dans les mois qui viennent, même si les financiers veulent croire à la reprise du miracle du Père Noël (Largesses liées à l’argent facile, tombé du ciel, facilités d’endettement telles qu’auparavant, grâce à l’argent factice, la monnaie de singe produite et distribuée gratuitement (sans intérêt) par les banques centrales (via l‘intermédiaire et au bénéfice des banques, des giga-fonds capitalistiques..) pour finalement soutenir « les affaires », la consommation, la croissance du PIB…

Il me paraît utile de bien analyser ce carcan, le piège dans lequel l’« industrie financière » veut tous nous faire tomber. Suppression de l’argent liquide, création de comptes individuels en monnaie numérique directement logés à la Banque Centrale Européenne, comptes assortis d’un contrôle strict, d’une surveillance de chacune de nos dépenses, objet par objet, grâce à l’emploi de l’intelligence artificielle. Ah le progrès !
… Blocage des comptes de ceux qui ne dépensent pas là où « on » le souhaite (versements à des associations « complotistes », achat de livres contestataires, cotisations à des journaux libres d’expression, à de mauvais partis politiques, à de mauvaises associations,…)

Et puis dépenses énergétiques hors quotas (à déterminer sous peu), limitation des voyages,… –  ce pourquoi je suis plus ou moins d’accord : nous avons atteint les limites en matière de gaspillage des ressources. Il FAUT faire des efforts et il FAUT que TOUT LE MONDE fasse des efforts – . Il y aura toujours des réfractaires bornés et égoïstes – parmi les nantis – qu’il convient de brider. Par la force ou par la persuasion ? Les deux, je crains. Je m’attends à l’apparition d’un passe énergétique à l’image du passe sanitaire qui ne fut qu’une expérience grandeur nature en vue de tester l’acceptabilité de cette technologie (parfaitement inutile en ce qui concerne le passe sanitaire sur le plan de la santé publique).

Voilà qui clôture l’enjeu (limitatif) du carcan économique à l’échelle familiale et les craintes de toutes formes de contraintes malvenues à venir.

Christine Lagarde, qui préside la BCE, s’affaire actuellement en coulisses pour obtenir l’accord des gouvernements européens et mettre sur pied son euro numérique. Agenda : boucler le tout pour le milieu de cette année 2023 et annoncer tout de go au public, ignorant ses manœuvres en coulisse, que c’est plié, qu’on n’a plus le choix. Que dorénavant, il n’y aura plus d’argent liquide (plus de charité donc), uniquement le payement sans contact, en monnaie numérique de préférence.
Tout cela est sur les rails. Ce sera progressif et j’espère irréalisable, vu qu’avant la crise de l’Ukraine, en Belgique, il y avait déjà 2 millions de Belges complètement démunis en matière informatique.

Mais, bon sang, que les gens résistent. Qu’ils refusent dès à présent de payer par carte (Delhaize compte supprimer les billetteries automatiques).

Exemple d’attitude possible : bourrer un gros caddie, se présenter à la caisse, exiger un payement en liquide (c’est encore un droit du consommateur) et, en cas de refus, laisser son caddie sur place et partir illico en râlant manifestement contre l’enseigne. Répéter l’opération plusieurs fois, dans la joie… Bloquer les caisses, le transit de marchandises, mettre un maximum de grains de sable pour empêcher le bon déroulement de cette politique liberticide…

Pour comprendre et entreprendre ce genre de démarche, la population doit savoir ce qui se passe, pourquoi ça se passe et ce qui est prévu… Le Great reset de Klaus SCWABBE, fondateur du FEM, Forum Economique Mondial, ou WEF, World Economic Forum qui se tient à Davos, sous l’égide des milliardaires, avec la présence complice d’hommes politiques, de médias mainstream,… le tout sous la protection rapprochée et musclée des forces de l’ordre (publiques) : 4.500 à 5.000 hommes.

Vient ensuite le carcan culturel. La norme du consommateur.

Ca, c’est tout le mode de vie souhaité et normé du « bon consommateur ».

Il est normal de consommer à outrance ce qui est prôné par la publicité, pour « profiter », « profiter » car on ne peut être heureux qu’en « profitant ».

Il est normal de consommer ce qui est à la mode, car sinon – horreur- on n’est pas à la mode.

Il est normal de recourir à des soins esthétiques pour « améliorer » son look – car on n’est jamais assez beau, assez bien, car on ne correspond pas point par point aux images (retouchées par logiciels d’imagerie) de « stars » de « top modèles » totalement normés… Il faut être people, suivre la mode… Aucune créativité, aucune fioriture, une piètre conscience de soi, sur le plan de l’identité physique – y compris le genre maintenant (« Vous n’êtes pas transgenre ???! Vous êtes donc sexiste. Regardez, les transgenres passent à la TV, ,,, vous pas ! Etes-vous bien sûr d’être un homme, une femme, un garçon, une fille… ??? Vous avez le droit de changer de genre si vous avez le moindre doute, quand vous en aurez envie… et vous pourrez passer à l’Eurovision et vous gagnerez à l’Eurovision, avec l’acclamation des foules, de millions de téléspectateurs… Quel pied !!!).

Une dérive mentale vers le consumérisme, sans aucun état possible de satisfaction finale…

Toute divergence est « suspecte ». Donner quelque chose à quelqu’un (d’autre que sa proche famille) est suspect. Avoir des idées hors norme est suspect, taxé de « complotisme », d’« extrémisme », malsain en tous les cas.

Pour ma part, je préférerais me déclarer « anormal » et le revendiquer haut et fort car je suis furieusement contre la norme et prêt à défendre âprement mon point de vue, haut et fort, à en découdre avec tout contradicteur formaté par la doxa.

Oui, nous sommes anormaux et fiers de l’être, de le vivre concrètement, de propager des opinions pour vivre autrement, bien plus heureux qu’en consommant bêtement.

Oui, il faut être anti consommateur de biens idiots, asociaux, irrespectueux de l’environnement,… Consommateur oui de culture, de science, de philosophie, de démocratie,… ce qui, au final ne coûte pas grand-chose, à part un peu de jus de cerveau.

Oui, il faut fuir les écrans abêtissants de la télévision propagandiste qui ne sert que des fake news politiquement correctes, des programmes stupides qui ne sont en rien ni intellectuellement ni philosophiquement, ni psychologiquement… enrichissants. Juste des jeux auxquels on ne participe pas activement, juste de la bête contemplation de scénarios consuméristes, du temps perdu irrémédiablement « Panem et circenses »… Surtout, chers téléspectateurs, ne vous informez pas par vous-mêmes, ne réfléchissez pas,.. tuez plutôt votre temps avec nous. En attendant de mourir pour de bon.

Ne parlez pas à votre voisin de votre misère ou de la sienne, ne vous réunissez surtout pas pour réfléchir ensemble (restez confinés). Suivez nos programmes hauts en couleurs, pleins de jingles tapageurs », participez (dans votre fauteuil) à nos jeux assortis de prix, de gains divers… Bavez-en, suivez les joueurs à l’écran, souhaitez-leur franc succès, une orgie de consommation… mettez-vous à leur place, soutenez-les tous les midis, à quatre heures…

C’est ça, aux grandes heures d’écoute, l’acculturation des médias audio-visuels.

J’exagère bien sûr… un peu ou beaucoup ?

Il faut identifier cette norme, la dénoncer, la mettre en rapport avec d’autres cultures (hors occident), d’autres types d’organisations sociales (peuples primitifs,…) plutôt basées sur le partage collectif volontaire de ressources et d’efforts pour l’obtention collective de biens communs dont chacun puisse profiter à titre individuel et collectif. Ces cultures existent, s’épanouissent mais sont combattues par l’industrie financière (exploitation outrancière des ressources, expropriation de la terre, informatisation et politisation des initiatives type ONG sinon persécutées, censurées,…)

Bref, identifier la norme maligne (diagnostic précis) en comprendre les mobiles cachés (consumérisme basé sur une déstructuration de l’estime de soi), pour ensuite, en pleine conscience trouver les moyens propres à la mettre en pièces (sur le terrain de la consommation) de la détruire totalement pour construire enfin un avenir bien meilleur (« Changer le monde »)

Voilà le programme.

Une pleine prise de conscience d’abord, puis de l’action, féroce et sans pitié, pour anéantir les grands projets de l’industrie financière et de ses commanditaires multimilliardaires.

Hormis la consommation, les citoyens consommateurs peuvent avoir l’idée saugrenue de thésauriser. Une manie purement avaricieuse ou un souci de se constituer un bas de laine, une assurance bienvenue pour les vieux jours, après sortie du monde lucratif du travail.

Mais ça, la BCE (Mme LAGARDE et ses soutiens politiques gouvernementaux inconditionnels) ne le souhaitent pas du tout.

D’où la confiscation effective de notre pouvoir d’achat, de nos économies au sein d’une « noble institution », de la vertueuse BCE.

D’où la mise à l’écart de toute forme d’argent liquide (à priori d’origine très suspecte) pour l’adoption vertueuse d’une monnaie numérique totalement pure, transparente…

Qui sera confisquée à la première occasion. Comment ? Toute forme d’épargne subira un prélèvement régulier, grâce à l’imposition d’un intérêt négatif : il faudra payer pour pouvoir économiser.

Oui, payer, car c’est mal d’économiser. Car il faut au contraire dépenser pour faire fonctionner les industries de la consommation fût elle à obsolescence programmée, pour gonfler le PIB, pour soutenir à marche forcée la croissance continue, seule à même de payer les nombreuses dettes issues des politiques clientélistes du passé : assistanat, subsidiation pour telle ou telle orientation de l’économie « politiquement correcte » au service du grand capital.

Bouffez les saloperies polluées aux pesticides et additifs divers de l’industrie agro-alimentaire. Consommez les joujoux technologiques à obsolescence programmée. Ingurgitez les médicaments empoisonnés de big pharma, et rien d’autre surtout. Soyez obèses, en mauvaise santé.  Ne consommez pas de compléments alimentaires sanitairement préventifs. Soyez plutôt souvent malades et consommez quantités de nos médicaments chers et brevetés… C’est pour votre bien !

Consommez les loisirs qu’on vous impose. Au détriment des esclaves locaux, au bénéfice des investisseurs étrangers de l’hôtellerie exotique.

Achetez à crédit, faites-vous livrer par Uber après avoir commandé virtuellement avec le casque de vision 360° en 3D du Métaverse qui arrive enfin sur les rayons super des temples de la consommation. Payez depuis votre fauteuil par PC Banking, faites-vous livrer par un esclave… !

Ca c’est bien, c’est conforme à la norme. Et si ca ne vous plaît pas, tant pis, trop tard. Vous n’avez plus le choix.

Vous souhaiteriez aller au restaurant ? Dommage : il n’y a plus de restaurants, rien que des locaux vides dont Mac Donnalds s’appropriera les mieux situés pour ouvrir des mangeoires totalement automatiques. Car, voyez-vous, les capitalistes ont trop d’argent à dépenser et préfèrent investir lourdement dans l’automatisation, la robotisation… et en tirer par la suite de plus copieux bénéfices, bien plus copieux que ce qu’ils auraient été en droit d’espérer en travaillant encore à l’ancienne avec des humains. Quoi de plus défaillant qu’un humain. Pire, de revendicatif. Alors admirez le progrès, la technologie, comme c’est propre, comme c’est pur, comme c’est beau et souhaitable. Vous ne devrez même plus dire merci… après avoir payé bien-sûr… sans contact !

Carcan de l’information – La mémoire vide et polluée.

Après un petit tour d’horizon sur notre carcan économique et culturel, à supposer qu’il y a encore moyen de s’en dégager, viendra vite le temps où, rasséréné, reboosté, chacun ou chacune pensera ; « Chouette, je me sens d’attaque, quel est le programme, car devenu anti consommateur, je dispose maintenant d’un peu de temps et de moyens,… Mais pour quoi faire ?

Si l’on écarte le paraître, le consumérisme,… pour quelle noble cause se mobiliser ?

Bien vite, apparaît alors l’insondable vacuité de notre perception concrète de tout ce qui est en dehors de nous, de notre chez nous domestique… Les gens, l’économie, la politique, les ressources collectives, la pollution, la société,… De quoi attraper le vertige. Vraiment, il y a un grand vide à combler si l’on veut prendre conscience de l’état bien concret de notre milieu de vie, de notre collectivité, de notre environnement, de la planète !

Vers où se tourner pour enrichir nos connaissances ?

Et quels ingrédients faut-il pour constater cet état des lieux, pour bien percevoir les réalités naturelles ?

Des données factuelles, matérielles, bien fondées, bien chiffrées. Une connaissance de l’état d’esprit de la population : mes voisins, le village, le quartier, la ville… De quelles ressources disposons-nous ?
Des sciences aussi car elles nous permettent de connaître et de comprendre. Le tout dans une bonne perspective basée sur la logique et le bon sens.

Où se tourner pour acquérir ces connaissances ?

La TV, les journaux… ?

Ah, dommage, on n’y apprend rien de concret, de factuel, de certain. Il s’agit plutôt de commentaires verbieux sur des sujets qu’on n’aborde ni concrètement, ni en profondeur. Aucun moyen de connaître, de manière chiffrée, de découvrir les données de base sur lesquelles on puisse asseoir un raisonnement, une analyse fructueuse et un semblant d’opinion, si nécessaire. Pas de données brutes donc.

TV, journaux mainstream… ? Ne s’y trouveront que de vagues commentaires flatteurs sur les opinions de cette brochette de clowns incompétents idéalistes bornés et sectaires ou menteurs patentés hypocrites et corrompus, qui hantent les coulisses du pouvoir. Rien que de très normal : les chaînes audio-visuelles sont largement subsidiées par les gouvernements (encore plus durant la période Covid entre parenthèses). Et qui dit subside dit retour d’ascenseur : on ne mord pas la main qui nourrit. Donc, on s’écrase, platement, et on se livre à bien des bassesses, consenties, obséquieuses, prévenantes, lèche lèche à ton maître… Pas besoin d’attendre la censure, on se censure soi-même préventivement pour éviter à tout prix de déplaire aux corrompus qui détiennent le pouvoir.

Donc, rien à attendre de ce côté.

Cette presse prône ostensiblement le consumérisme aussi, avec aplomb et enthousiasme : « Vous le valez bien !… ». Bien-sûr, quand on vit grâce aux bénéfices tirés de la publicité qu’on imprime, pas question de tacler, de contrarier l’annonceur, une autre main qui vous nourrit.

Cela vaut aussi malheureusement pour la presse scientifique, victime de la publicité et financièrement dépendante de la propension des industriels du médicament et de l’agro-chimie à payer quantités astronomiques de tirés à part, une manne financière bienvenue pour boucler les budgets trop serrés de la presse scientifique.

En sus, à la tête de chaque entreprise de l’information mainstream siège un grand chef tout puissant. Discret mais capable de « mettre à pied » n’importe quel collaborateur, de la direction à l’employé le plus modeste. On relève ici la présence systématique d’un actionnaire propriétaire de la chaîne télévisuelle, radiophonique ou du journal… ou des trois !

Qui est propriétaire de ce genre de société, un peu particulière, qui ne « tient économiquement » que grâce aux rentrées de la pub, aux subsides du gouvernement, un tout petit peu grâce aux cotisations volontaires ou non de ses téléspectateurs, auditeurs et lecteurs… ?

Un riche, très riche propriétaire, un milliardaire ou alors un 0,x milliardaire.

Comme c’est étonnant : tous les médias mainstream sont aux mains de super-riches. Quel intérêt peuvent-ils bien tirer de leur position d’actionnaire dominant ?

De plantureux bénéfices ? Non ! Tout au plus pourrait-on parler de détournement de subsides… Et puis, franchement, en jetant un bref coup d’oeil sur les perspectives boursières de n’importe quel autre type d’entreprise, il va de soi que l’argent serait bien plus profitable ailleurs.

Non, la raison de cette présence est ailleurs. C’est le pouvoir discrétionnaire de censurer tout ce qui contrarie les intérêts des puissants. Surtout ne pas trop informer, ne pas dévoiler les fondements, les trucs et ficelles qui permettent de s’enrichir lorsqu’on est déjà riche.

Donner libre cours à des opinions d’accord : ça ne mange pas le pain des riches et cela fait bon genre pour le public. Un peu de gesticulation médiatique d’accord, pourvu que cela ne déborde pas le cadre de la doxa bienpensante des milieux d’affaire et de leurs larbins politiques.

En cas d’incartade, il suffit d’avertir le directeur d’un licenciement imminent et certain dans le cas où il persisterait dans l’erreur. Ne pas nuire aux affaires par trop d’informations trop concrètes, trop sensibles, trop révélatrices des manœuvres tortueuses et néfastes des grands capitalistes.

Car, chez les riches, les très riches, les loups chassent en meute.

Et l’on en revient alors au carcan économique.

Bien-sûr, il y a moyen de glaner çà et là l’un ou l’autre petit indice, l’un ou l’autre renseignement factuel, fondé et chiffré…. Mais quelle perte de temps pour une bien maigre récolte dans ce brouhaha médiatique assourdissant. Un tout petit pour cent ? Et encore, avec beaucoup d’opiniâtreté et de chance.

Pour travailler plus efficacement (et avec un bien meilleur rendement), mieux vaut se tourner vers d’autres sources d’information : l’internet, les sciences, les livres (encore non censurés jusqu’à présent), les publications des ONGs « honnêtes ».

Internet… Méfiance !

Pour jauger la respectabilité de votre source d’information, informez-vous d’abord de ses bases financières. Pistez l’argent, les flux de trésorerie, de capitaux. Privilégiez des associations qui ne vivent que des dons et cotisations de leurs utilisateurs, de rien d’autre pour ne pas tomber dans le travers ci-dessus énoncé.

Méfiez-vous de Google qui vous espionne (micro ouvert par défaut), qui censure les contenus « inopportuns » de sa plate-forme YouTube.

N’oubliez pas que les premiers liens affichés sur les pages de votre moteur de recherche sont des liens publicitaires, précédemment bien signalés « Ad pub », mention aujourd’hui disparue. Méfiez-vous des premiers liens hébergés contre payement par leurs annonceurs à Google. Ils se trouvent en tête de gondole, parfois répétés d’une page à la suivante. Et de tels liens qui vous renvoient vers des sites à but purement lucratif sont de plus en plus nombreux. On peut fréquemment en compter neuf sur dix sur une page de dix liens. Dès lors, s’ils se répètent, seule la dixième occurrence sera valide et celles qui viennent ensuite. Pour un meilleur rendement de votre investigation, vous pouvez paramétrer votre moteur de recherche en demandant bien plus que 10 liens par page affichée. Le dessous des pages se garnira alors de documents fort utiles car désintéressés.

Je le mentionne surtout pour des recherches individuelles en matière de santé car il paraît que la moitié des gens ont aujourd’hui recours à internet pour chercher un remède à leur mal, faute de la plus élémentaire confiance en leur médecine publique. Faute de précaution, on tombe facilement dans les multiples pièges tendus par l’industrie pharmaceutique en vue de désinformer et d’inciter à la consommation de tout et n’importe quoi, pourvu que cela rapporte directement ou indirectement à leurs bienfaisants actionnaires.

Pour ce qui est des sciences, il convient de distinguer « sciences de base » et « sciences appliquées ».

A la base, lorsqu’on ne parle que de raisonnement, de développements fructueux de la logique, aucun problème !

Ce sont les sciences fondamentales. A consommer sans modération.

Quand on rentre dans les applications, méfiance ! Il faut savoir à quel scientifique on a affaire. A nouveau, chercher du côté du fric : est-il directement ou indirectement (susceptible d’être) payé par la composante financière des industries concernées (chimie, pharmacie, agro-alimentaire, énergie, tabac,…) ? Si oui, s’il y a suspicion de « conflit d’intérêt », la plus grande méfiance est alors de mise.

Entre un scientifique honnête et un scientifique véreux, la distinction n’est pas souvent facile et c’est toujours une question de dosage : ce n’est jamais ni tout blanc ni tout noir.

Dans ses communications, un vrai scientifique (honnête) fait toujours montre d’un grand souci de précision, d’explication. Il veut toujours convaincre jusqu’au dernier détail la légitimité de ses propos. Cà se sent à la lecture de ses productions.  Foncièrement, on ressent aussi le caractère, le souci purement intellectuel de sa démarche, sa modestie, l’absence de tout sectarisme primaire, un vœu de remettre en cause son raisonnement en le confrontant sans cesse à celui de ses détracteurs.

Un vrai scientifique est rarement très en vue et n’est généralement pas fort riche.

Pour ce qui est du scientifique corrompu, on notera par contre une vantardise patente, une prétention protocolaire et dogmatique, une usurpation de compétence éventuellement assortie d’un corporatisme pathologique. Les discours est péremptoire et non probatoire : les arguments ne sont étayés que par des fondements, des preuves assez vagues, lacunaires. La contradiction est d’emblée évacuée sans analyse factuelle sérieuse. Au niveau chiffres et échelles de grandeur, c’est pour le moins approximatif… Méfiance vis-à-vis de celui qui veut manifestement vous inculquer sa doxa de manière péremptoire, insuffisamment fondée et autoritaire.

Un petit détour par le curriculum vitae de l’intéressé peut vous apporter quelques éclaircissements, surtout s’il vous révèle de possibles conflits d’intérêt et surtout si vous découvrez à cette occasion que sa notoriété est surtout basée sur un trafic d’influence et non sur une carrière de besogneux académique, sur un travail assidu de chercheur perspicace qui doute perpétuellement de la validité de sa propre pensée scientifique.

Venons-en aux ONGs et à leurs publications.


Petit détour récréatif vers une expérience de vie.

Passionné de nature et de sciences naturelles, j’ai eu à une certaine époque, l’occasion de tenter d’insuffler mon idéalisme à l’occasion de matinées scolaires dans des classes d’enseignement primaire. Ma démarche était de proposer aux directeurs d’écoles la présentation en classes de primaire supérieure de reportages illustrés de diapositives sur divers thèmes naturalistes au sens large. Pour pouvoir à cette occasion communiquer ma passion naturaliste et pour offrir aux enfants d’agréables demi-journées de découverte scientifique initiatique.

Pour illustrer mes propos, j’ai dû préalablement me procurer des slides illustratives, car le produit de mes activités photographiques était insuffisant.

Le WWF possédait d’intéressants montages à usage didactique. Le les ai donc contactés afin de pouvoir disposer de ce matériel fort utile voire indispensable.

Quelle ne fut pas ma surprise. Je me suis entendu dire que ce matériel (petits montages de diapositives) n’était disponible que pour une durée très limitée et que pour en disposer il fallait verser lors de chaque emprunt successif, très limité dans le temps, une caution dont le montant était pour le moins dissuasif. En outre, il fallait s’engager à produire avant et après projection un copyright et une publicité en faveur du WWF… Les démarches exigées étaient tellement contraignantes que j’y dû renoncer à leur soutien logistique.

Poursuivant mes recherches de documentation illustrative, je suis fort heureusement tombé sur… le producteur et auteur des diapositives du WWF,  l’ICCE (International Centre for Conservation Education) établi à Cheltenham, au Royaume Uni. Et j’ai pu leur acheter les copies des mêmes montages et de divers autres apparentés à prix coûtant. Ouf… ! Bingo !

A se demander quels sont les objectifs réellement poursuivis par la structure dirigeante de WWF à cette époque.

A choisir, je préfère nettement avoir affaire à une petite association native, dénuée de grands moyens mais animée par un intense désir de défendre sa cause pour diverses raisons éthiques propres à chacun de ses fondateurs, dans le cadre d’une démarche collective, citoyenne et – disons-le – relativement désintéressée et idéaliste.

Je préfère choisir ceux qui, avec des petits moyens et peu de soutien logistique, parviennent à faire des miracles.

Par contre, je me méfie des associations moribondes squattées par des fonctionnaires permanents, payés grâce aux cotisations et aux subsides divers.

Autre petite expérience de vie.

NATAGORA, héritière de la fusion des RNOB (Réserves Naturelles et Ornithologiques de Belgique) asbl et d’AVES asbl, Société d’études ornithologiques, NATAGORA donc, compte actuellement une centaine de salariés « permanents » dont une bonne part exécutent des tâches correspondant parfaitement aux motivations légitimes de cette grande association naturaliste qui se veut représentative en ce domaine, à l’échelle régionale.

Mais, fort malheureusement, le noyau directeur logistique est composé de membres (salariés) fort sympathiques mais dont les directives et les affirmations me laissent pantois.

J’ai ainsi été confronté à l’un de ces fonctionnaires m’affirmant péremptoirement et catégoriquement qu’en matière de naturalisme, les livres étaient parfaitement inutiles et à mettre au rancart de toute urgence. Je me demande donc d’où ils peuvent bien tirer toute leur science de la nature. D’activités sur le terrain, sûrement pas, car, sur le terrain, ces fonctionnaires brillent par leur absence.

Pire, les membres des sections régionales sont bridés dans leurs activités : pas question de présenter quelque activité informative naturaliste dans les écoles (hormis de la publicité pour NATAGORA), pas question non plus de proposer quelque activité visant à favoriser la biodiversité dans des zonings industriels et artisanaux, sous couvert d’activités favorables à la culture d’entreprise, conformes au souci des dirigeants d’offrir à leurs employés l’occasion de participer à une activité collective bienfaisante et de pouvoir nouer à cette occasion des liens renforçant la cohésion des équipes au travail.

Pas question de… Pas question de… C’est chasse gardée, tabou et strictement réservé au fonctionnariat,   mais avec au final fort peu de concrétisation sur le terrain, donc rien de bien substantiel.

En revanche, pour faire la pub de l’association à l’occasion de foires, de marchés… aucun problème ! Faire des membres, oui, via un lobbying hyperactif et grâce à l’emploi d’un matériel de promotion offert gratuitement par l’association . Oui, obtenir le consentement mal éclairé de visiteurs occasionnels d’un stand propagandiste. Obtenir de manière plus ou moins moralement contraignante ou simplement convaincante l’adhésion et la cotisation de nouveaux membres… qui s’empresseront de ne pas la renouveler par la suite. Voilà l’activité à laquelle sont réduits les collaborateurs des régionales.

Moribonde cette société au passé glorieux. Moribonde alors qu’elle tente de s’accaparer l’exclusivité de la mouvance naturaliste. Moribonde au vu de la pauvreté scientifique de ses initiatives éducationnelles et de ses publications dénuées de fondements « trop livresques » suivant l’avis éclairé de son personnel administratif. Moribonde mais accaparante. Ainsi, sous le couvert du RGPD, la liste des adresses mail des membres n’est pas disponible même pour un usage conforme aux buts affichés de l’ONG.

Enfin, méfiance à l’égard de sociétés prétendument citoyennes et sans intérêt lucratif qui naissent brusquement, d’emblée dotées de puissants moyens logistiques pour prendre part à la défense de telle ou telle bonne cause. Il y a fort à parier que, malgré les objectifs fort louables affichés, ces sociétés sans bulletin de naissance soient copieusement financées au départ par de puissants lobbys industriels en vue de créer autant « d’usines à gaz » pour concurrencer et faire contrepoids face à des ONGs spontanées  et honnêtement motivées, afin de torpiller leur narratif en noyant leurs messages culturels. Et, au final, polluer les espaces médiatiques par diverses fake news favorisant in fine l’essor et le succès économique des entreprises commanditaires (Elles se trahissent parfois par leur sponsoring plus ou moins clairement affiché).

Ce qui précède peut être bien démoralisant : « A quel saint se vouer ?» …

A votre sain esprit, qu’il convient de cultiver soigneusement en l’abreuvant de bonne science et de bon sens. Oui, tout un chacun en est capable à condition de s’atteler à la tâche, ce qui n’est pas du tout désagréable.

Et, rien n’est jamais ni tout blanc ni tout noir. Même dans les pures fake news on peut glaner quelques renseignements fort utiles sans pour autant adhérer à la doxa qu’elles colportent et soutiennent de manière fort intéressée. Simplement ne pas se laisser polluer l’esprit, ne pas se laisser berner par des intervenants soit idéologues bornés et sectaires, soit profondément corrompus par des intérêts relevant de l’industrie financière.

Pour finir, l’excellent apport des livres, fort malheureusement tombés en désuétude au profit de l’état d’ignorance dans lequel les puissants souhaitent maintenir les populations qu’ils dominent. Que ce soit au niveau scolaire (programmes débilitants), académique ou culturel grand public.

Les maisons d’édition ne font pas (encore) l’objet de censure. Elles peuvent donc délivrer des contenus émanant de lanceurs d’alerte. Des ouvrages résultant de fructueuses démarches d’investigation. Délivrer des opinions qui dérangent parce que trop bien fondées et documentées. Des informations complètement censurées dans les médias mainstream.

L’édition est le terreau de base idéal pour développer des initiatives culturelles sourdement attendues par le commun des mortels, des initiatives susceptibles de remédier à la pollution culturelle qui soutent la corruption crasse dont s’abreuvent les pouvoirs politiques et financiers. Pour contrer cette nuisance intellectuelle qui menace très concrètement la démocratie et l’avenir soutenable, responsable, pérenne et souhaitable de notre civilisation occidentale sur le déclin et en voie d’effondrement.

Ces courageux éditeurs et auteurs méritent d’être pleinement soutenus, tout simplement par l’achat de leurs productions, ce qui est une forme très saine et très digne de reconnaissance.

Très rares sont les livres propagandistes. Ils se définissent à priori a contrario de certains mouvements de pensée. Les mêmes auteurs, plutôt rares mais omni-compétents, usurpent toutes sortes de casquettes pour répandre sur divers sujets leur propagande à des fins de nuisance et de pollution culturelle, foncièrement motivés par divers lobbys industriels et financiers. De tels livres se révèlent bien vite orduriers, corrompus et polluants pour l’esprit critique qu’il convient de cultiver afin de comprendre d’abord et agir ensuite par logique conséquente. Pour pouvoir se forger une opinion personnelle réaliste et efficace, avant toute prise de position ou toute initiative sociétale visant le bien commun et la pérennité de notre milieu de vie, de la survie de notre planète. N’oubliez pas de sanctionner les éditeurs qui concourent à cette pollution culturelle. Il suffit simplement de renoncer à l’achat de l’ensemble de leur production désormais suspecte.

J’en finirai par un bilan des opérations sur le terrain.

Que constate-t-on aujourd’hui ?

Une chasse judiciaire contre les lanceurs d’alerte.

Vilipendés pour avoir osé s’exprimer de manière indépendante, accusés d’atteinte à la « sécurité publique », à la « sécurité sanitaire » les voilà traînés un par un devant les tribunaux pour répondre de délits d’opinion. Sans échappatoire, sous les huées des corrompus et des idiots, sans possibilité d’obtenir ailleurs un quelconque droit d’asile politique, sauf dans de lointains pays tiers peut-être.

Sous prétexte de « nuire à l’ordre public » bien des journalistes se voient poursuivis en justice pour condamner leur curiosité et leurs investigations contraires aux secrets bien gardés de l’industrie financière et des entreprises industrielles néfastes pour la santé humaine et pour celle de l’environnement. On leur reproche des méthodes qualifiées d’« espionnage industriel» contraires au copyright et au secret des affaires. Le journalisme d’investigation est d’ailleurs le parent le plus en plus pauvre de nos médias mainstream, où il se trouve quasi en voie de disparition.

Condamnable aussi la couverture médiatique de militants finalement acculés à mener des actions de sabotage, après avoir constaté amèrement que le bon sens et la science, l’expression de la démocratie ne suffisaient pas pour faire triompher leurs justes causes face à une industrie écocide et génocidaire toute puissante.

Des journalistes sont poursuivis en justice, des journaux sont condamnés à la censure avant même d’avoir pu produire le moindre article de presse informatif.

Il conviendrait d’apporter à chacun d’entre eux un soutien concret, effectif, financier, assorti de sincère reconnaissance. Dans la dignité. Avec une logistique très efficace pour ce faire. Afin d’encourager les suivants.

Elle est tombée bien bas la « liberté d’expression », déniée, bafouée, dénigrée, interdite. Vive la démocratie sans expression concrète, sans référendum et sans âme. Vive la dictature plutôt, orchestrée de main de maître par l’industrie financière avec la complicité active de nos ténors dirigeants in fine élus au sein de leurs partis respectifs, à huis clos ! Alors que les bons politiciens engagés et besogneux sont mis de côté, vu qu’ils n servent que d’attrape-voix pour leurs partis respectifs.

Pour terminer, je souhaiterais émettre un avis en ce qui concerne la saga Covid et la « rage vaccinatoire » qui sévit actuellement suivant les voies bien déblayées par les bons soins de Big Pharma.

Pour commencer, j’accuse les pouvoirs publics et les « experts » de plateaux télévisés qu’ils ont mandatés, de génocide par non-assistance à personnes en danger.

En effet, suite à l’interdiction de soigner prononcée à l’encontre des médecins qui se sont vus réduits à des interventions exclusivement téléphoniques, avec ordre de ne prescrire que des antiinflammatoires, rien d’autre, alors qu’il existe des médicaments salvateurs et bon marché dans le domaine public, non rémunérateurs de brevets depuis longtemps échus, d’emploi courant sans effets secondaires notoires ni fréquents. Que ces interdictions ont abouti à une absence de soins efficaces et à une perte de chances de survie pour des milliers de personnes, mortes inutilement en Belgique, faute de soins, « en attendant le vaccin ». Que les despotes de cette dictature sanitaire portent donc la responsabilité de leurs dictats et des nombreuses morts évitables qu’il faut en grande partie attribuer à leurs interdictions de soigner.

Pour ce qui est du « vaccin », le remède proposé n’est qu’une nouvelle technologie génique expérimentale testée à échelle mondiale. Technique qui s’est rapidement avérée totalement inefficace : un « vaccin » qui n’empêche ni la contagion ni la contamination ne mérite pas l’appellation « vaccin », d’autant plus que sa mise en œuvre a révélé de très nombreux effets secondaires, mortels à très graves que les autorités ont très soigneusement occultés.

Que sur le plan de la santé publique force est de constater que les pays qui ont dénombré le plus de morts par 100.000 habitants sont les pays qui ont le plus vacciné (de manière contraignante) leur population. Que ce pseudo-vaccin a donc aggravé la situation et qu’il est totalement anormal d’en prôner encore aujourd’hui l’usage dangereux et abusif, notamment en ce qui concerne l’extension de son emploi aux personnes non affectées par un virus pandémique devenu quasi inoffensif, cad les enfants depuis le plus jeune âge et la population jeune et en bonne santé. Au lieu de le réserver à un public cible concerné souffrant de comorbidités ou souffrant d’insuffisance immunitaire liée à un grand âge et à un régime alimentaire déficient notamment basé sur la consommation d’aliments frelatés, funestes et mortifères issus de l’industrie agro-alimentaire, jamais remis en question sur le plan sanitaire.

Qu’il est donc parfaitement anormal et malsain de poursuivre l’extension du recours de cette technologie génique qui, selon l’avis péremptoire des firmes productrices, est à employer « en urgence » dans le cadre de vaccinations de masse répétitives (tous les 4 mois) afin de prévenir toutes sortes de nouvelles hypothétiques menaces supposées épidémiques, pour le plus grand bénéfice des entreprises pharmaceutiques, dans un climat d’angoisse permanent, autorisant la mise sur le marché en urgence de médicaments non préalablement testés, évalués, hors de toute mesure de la plus élémentaire précaution sanitaire. Que la rage vaccinatoire actuellement en vigueur ne profite qu’aux actionnaires de l’industrie pharmaceutique et est bien loin de tout légitime souci de protection de la santé publique.

Que tout ce qui est accordé en urgence est suspect, de nature à pouvoir nuire à la santé des populations soumises à toute obligation vaccinale recourant à ces nouvelles technologies géniques fort suspectes dans le cadre d’un usage généralisé dit « vaccinal ». Qu’il convient dorénavant de raison garder, d’évaluer correctement l’impact quantifiable néfaste et avéré de ces nouvelles technologies et de les interdire plutôt si besoin est. De favoriser au contraire toutes les mesures préventives et curatives efficaces, même si celles-ci, relativement peu coûteuses pour le trésor public, ne servent pas directement les intérêts exclusifs des entreprises pharmaceutiques cotées en bourse. De développer de nouveaux vaccins inoffensifs basés sur la technologie traditionnelle qui a déjà fait ses preuves d’innocuité. Sous réserve de surveiller étroitement la nocivité potentielle et l’opportunité des adjuvants présents dans les fioles de produits à injecter, dont la composition est tenue secrète sous couvert de secrets de fabrication industrielle. Sous réserve d’affecter à cette fin les moyens suffisants, moyens matériels et humains garantissant l’efficacité de ces contrôles préalables à la mise sur le marché pour raisons dorénavant non urgentes.

Ce n’est qu’un avis parmi d’autres mais je tenais à l’émettre.

Quelques références bibliographiques pour conclure.

Pour comprendre la saga covid, l’excellent livre de Xavier BAZIN : « Antivax toi-même »

Pour découvrir les effets secondaires désastreux liés aux adjuvants aluminiques des vaccins, le livre très précis et bien documenté de Romain GHERARDI : « Toxic story »

Pour découvrir l’insondable profondeur de l’inextricable état de corruption de nos institutions, le reportage journalistique de Anne JOUAN et Pr Christian RICHE : « La santé en bande organisée »

Il y en y a bien d’autres aussi intéressants sans aucun doute mais que je n’ai pas encore eu le temps de lire, je l’avoue.

Anormalement et sympathiquement vôtre,

Bien à vous.

M. B.

Totem scout : « Bouquetin obstiné »

« Bodjivo », mais bon sang, de grâce « Bodjivo de toute urgence» si vous voulez vivre en pleine conscience et en harmonie avec votre bonne conscience.

Il en va de l’avenir des générations futures.

J’aime assez le terme « sympathique » dont la définition est largement admise mais dont l’étymologie est un peu particulière sym-pathie signifiant « souffrir ensemble » ce qui est un peu le cas actuellement.

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